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FCL ARTS MARTIAUX Romain LEFEBVRE Champion de France K1 2013

Romain LEFEBVRE VÉRITABLE GLADIATEUR du FCL Arts Martiaux vient d’obtenir le titre suprême de Champion de France sénior K1 2013  dans la catégorie des –  67kg. Ce jeune papa d’un troisième enfant avait décidé d’en découdre et de ramener la ceinture de finaliste des championnats de France à son petit dernier âgé d’ à peine quelques semaine. C’est chose faite. Romain a de grandes qualités, très volontaire c’ est une force tranquille mais sur un ring il ne lâche rien. Il a fait de gros efforts sur sa préparation physique car il le reconnait que c’était son point faible.

Peu connu en France, cet Art martial japonais bénéficie d’une très bonne image de marque dans le monde entier et surtout au Japon, où il génère beaucoup d’engouement  et mobilise  plusieurs dizaines de milliers de spectateurs à chaque tournois (La finale du K-1 Grand Prix au Tokyo Dôme rassemble chaque année plus de 70 000 spectateurs, autant d’ hommes que de femmes).  Les règles sont celles du karaté kick-boxing japonais sur un ring c’est-à-dire que sont autorisées  Les « low kick » ou les coups de genoux directs mais également les saisies au niveau du cou, mais uniquement dans le but de donner un coup de genou. Un seul coup de genou par saisie et par boxeur est autorisé. La saisie doit durer moins de 5 secondes. Ce qui en fait un véritable karaté total plus professionnel et surtout avec des règles d’arbitrage moins approximatives (amateur s’abstenir). Les combattants sont triés sur le volet et peuvent intégrer les circuits Professionnels car ils sont classés par niveau ce qui évite à certain sans expérience de venir se perdre sur un ring.

Mais comme dit si bien un proverbe japonais « En atteignant le but, on a manqué tout le reste.  ». “mon objectif atteint,  je souhaite consacrer plus de temps à ma famille mais aussi à mon travail car je suis chef d’entreprise et il m’arrive de cumuler entre le sport et le travail presque 15h par jour. Il faut  que cela reste un loisir sans que cela me prenne trop de temps … même si je pense à m’arrêter sous la pression de la famille,  j’y pense et puis j’oublie…”